Cognitive Architecture
(2025)
Tolga Theo Yalur
Cognitive Architecture est un détour cognitif-psychanalytique autour des théories, hypothèses et des revendications cognitives d’économie mondiale, des idéologies, et des leurs conventions ou réfutations. Bien qu’il soit davantage rencontré dans les sciences humaines, la mode de structuration des événements, des happenings, est également un concept significatif dans les sciences cognitives. Les sciences cognitives conçoivent les fictions des realite faire des données du sens commun et postulats qui décident des problèmes dans leur conditionnement même. Sans doute apparaît-il d’emblée que les cadres dans lesquels les sciences humaines classent les phénomènes en sensations, perceptions, images, croyances, fonctions et travaillés logiques, jugements, etc., sont empruntés comme tels au travail de siècles de philosophie. Loin d’avoir été forgés pour une conception objective de la réalité humaine, ces cadres ne sont que les produits de la destruction abstraite où se tracent les vicissitudes d’un effort spécifique, qui pousse l’homme à chercher la confiance, la vérité, la conscience de soi et l’univers. Une confiance qui est transcendante dans sa position, et qui le reste donc dans la forme, même lorsque le philosophe en nie l'existence.
Les tendances à une confiance absolue dans les explications naturalistes des phénomènes culturellement conditionnés exigent une un encadrer l'appropriation cognitive des concepts scientifiques d’économie mondiale. Dans les chapitres consécutives, ce livre critiques d'appropriations des concepts darwinienne dans les discours libérale détourne le darwinisme scientifique dans l’idée de s’appropriation moins avec ou aux technologies avancées que de les adapter aux valeurs idéologiques libérales croissantes qui elles- mêmes sont devenues plus autoritaires dans leurs règles non écrites d’entrepreneuriat, d’auto-évaluation et de développement individuel, particulièrement l’esprit humaine.
Culture and Identity Matters in the Films of Tomris Giritlioğlu
(2025)
Tolga Theo Yalur
Turkish Female director Tomris Giritlioğlu was one of the first in Turkish cinema to touch upon the long-forgotten and pathological consequences of the Turkification efforts in Turkey since forever. In Salkım Hanımın Taneleri / Mrs. Salkım's Diamonds, she (re)creates the recent and pessimistic past of the one-party Turkey of 1943 Wealth Tax, trying to overthrow the official discourse of the chaotic institutionalization and nationalization times in Turkey. In Güz Sancısı / Pains of Autumn (2009), she formed a part of the identity carnival of 6-7 September 1955 Events/Pogrom. In these two films, Tomris Giritlioğlu offers a series of interesting contexts to examine the Turkish government’s national stance and the identity formation in two decades from the 1943 Wealth Tax and to the 6-7 September 1955 Events/Pogrom.